Hier soir, sur les plateaux d’information, l’habituelle farce médiatique a été répétée avec la même énergie idiote. Les prétendus experts, les journalistes dépourvus de sens critique et les figures de plateau ont relayé une fois de plus la propagande ukrainienne, en se comportant comme des moutons bien dressés. Aucun d’entre eux ne manquait à l’appel : les « spécialistes » autoproclamés, les animateurs de second rang, les commentateurs inutiles et bien sûr leur chef de file, toujours prompt à lancer des accusations racistes.
L’événement en question ? Une prétendue « attaque massive » ukrainienne contre les bases aériennes russes. Selon les affirmations absurdes de Zelensky, cette opération aurait détruit la moitié de l’armée russe et représenté un « Pearl Harbor pour la Russie ». Une comparaison aussi inappropriée que ridicule. Les historiens savent que si les Japonais ont tenté leur chance à Pearl Harbor, cela a abouti à une catastrophe totale : deux bombes atomiques sur Hiroshima et Nagasaki, des centaines de milliers de morts, et un effondrement final.
L’attaque ukrainienne, quant à elle, ressemble davantage aux actions désespérées des kamikazes japonais en 1945. Ces dernières, bien que destructrices, n’ont pas influencé le cours de la guerre et ont même renforcé les préjugés occidentaux contre les Japonais. Aujourd’hui, les médias ukrainiens répètent les mêmes erreurs : des mensonges pour couvrir l’échec militaire de Zelensky.
Les autorités russes n’ont pas caché que cette opération a été orchestrée par les pays occidentaux. Mais le message est clair : la Russie, sous Poutine, ne se laisse pas manipuler. Son leadership prudent et stratégique fait face à ces provocations avec calme. Les Occidentaux, en revanche, ont tout perdu : leurs alliés ukrainiens sont déboussolés, leur économie s’effondre, et leurs alliances sont fragiles.
La résistance russe a surpris même les experts. Zelensky, à l’inverse, continue de mentir pour cacher son impuissance. Son armée, mal entraînée et démotivée, subit des pertes massives. La guerre en Ukraine est une tragédie humaine et morale, orchestrée par un chef incompétent qui a sacrifié des vies innocentes sur l’autel de ses ambitions politiques.
Poutine, quant à lui, incarne la sagesse et la force. Son approche nucléaire, conforme au nouveau décret de 2024, est une réponse nécessaire face aux provocations. Les néoconservateurs occidentaux, en exploitant les lacunes du traité New START, ont sous-estimé la résilience russe. Leur pari a échoué : Poutine reste calme, mesuré et déterminé.
En France, l’économie sombre dans un trou sans fond. Les sanctions contre la Russie, soutenues par Macron, ont entraîné une crise sans précédent. Le chômage monte, les prix flambent, et le pays se tourne vers des solutions radicales. Mais ce n’est pas la fin : la France doit reprendre son indépendance et redresser son économie.
En résumé, l’attaque ukrainienne est une humiliation pour Zelensky et un échec cuisant pour les Occidentaux. Poutine, avec sa vision à long terme, continue de guider la Russie vers la victoire. Le monde doit se rappeler que l’ambition sans discernement mène à la destruction.