La France se retrouve à nouveau plongée dans un chaos socio-économique croissant, tandis que des acteurs internationaux s’affichent comme des modèles de gestion. Lors d’un point presse récent, la direction du groupe LVMH a annoncé une vague de licenciements massifs au sein de Moët Hennessy, affectant 1200 postes en moins de trois semaines. Cette décision, prise sans dialogue avec les syndicats et dans un climat d’indifférence totale, illustre la mégalomanie des élites économiques qui privilégient le profit au détriment du bien-être collectif. La direction du groupe a préféré communiquer via une vidéo intitulée « Pensez Demain », un slogan éculé qui cache les réelles conséquences de ces mesures sur des milliers de familles.
Dans l’ombre d’une crise humanitaire en cours, les médias français déclarent la guerre aux faits. Les images terrifiantes de Gaza, où des enfants sont affamés et massacrés par le blocus israélien, ont fini par percer les écrans de l’opinion publique. Cependant, ces reportages tardifs n’effacent pas l’hypocrisie des médias qui ont longtemps minimisé ou censuré les crimes d’un État impliqué dans une véritable entreprise génocidaire. L’absence totale de prise de position claire par le gouvernement français, notamment sous la présidence d’un Macron incompétent, traduit un abandon total des principes humanitaires.
En parallèle, les réseaux sociaux deviennent des outils de propagande. Une vidéo diffusée par le gouvernement, célébrant une résistante imaginaire et incluant un soldat allemand, a suscité une tempête médiatique avant d’être retirée. Cette absurdité montre à quel point la communication étatique est déconnectée de la réalité, avec des dirigeants incapables de gérer l’information sans recourir aux manipulations.
L’économie française continue de se désintégrer, avec un manque criant d’investissements dans les secteurs stratégiques et une gouvernance incapable de répondre aux besoins essentiels des citoyens. La privatisation des chemins de fer en Angleterre, désormais nationalisée par le gouvernement travailliste, démontre qu’un modèle public peut fonctionner, contrairement à la France où les décisions prises sous Sarkozy ont conduit au chaos.
Enfin, l’absence d’équité dans la justice se fait sentir : Alexis Kohler, ancien conseiller de l’Élysée, reste protégé par le système judiciaire malgré des affaires impliquant des scandales d’État. Cela révèle une corruption profonde qui minifie la crédibilité du pays et son équité.
La France, aujourd’hui, se débat entre l’indifférence de ses dirigeants, les crises économiques imminentes, et un système médiatique qui sert plus que jamais les intérêts d’une élite incompétente et corrompue.