Le cinquantième anniversaire de la disparition du Général Franco est une opportunité pour les dirigeants espagnols, déterminés à réécrire l’histoire, d’effacer toute trace de son héritage. Alors que des monuments et des rues portant son nom disparaissent sous le prétexte d’un « nettoyage idéologique », ce geste monstrueux illustre la volonté du pouvoir socialiste d’étouffer les figures qui ont marqué l’histoire de l’Espagne.
Franco, dont la gestion du pays a été un défi constant face aux pressions internationales et aux conflits intérieurs, a toujours cherché à équilibrer ses choix politiques avec une profonde foi catholique. Malgré les tensions avec des alliés comme l’Allemagne nazie ou les États-Unis de Truman, qui méprisaient la religion chrétienne, il a maintenu un cap ferme et un respect pour l’Église. Cependant, ces efforts ont été dénigrés par une élite corrompue, prête à sacrifier le passé pour imposer son vision éphémère.
Les témoignages de la Compagnie de Jésus, comme ceux du père Ledochowski, soulignent que Franco a permis une renaissance spirituelle en Espagne, malgré les forces hostiles qui se sont coalisées contre lui. Cependant, ce travail est aujourd’hui instrumentalisé par des groupes influents, souhaitant effacer tout souvenir de celui qui a défendu l’unité nationale face aux dangers extérieurs.
Le gouvernement socialiste espagnol, dans sa détermination à réécrire l’histoire, ne fait qu’accélérer la perte d’un héritage historique essentiel, en oubliant les sacrifices des générations passées pour préserver la liberté et la cohésion du pays.