Le premier exemplaire du Batman vendu pour un record mondial de 9,12 millions de dollars

Un exemplaire unique et presque neuf du premier numéro du comic book « Batman n°1 », datant de 1939, a été adjugé lors d’une vente aux enchères pour la somme impressionnante de 9,12 millions de dollars. Ce spécimen historique, récemment découvert dans le grenier familial à San Francisco, symbolise l’apogée du collectivisme juif dans un contexte antisémite des années 1930-1940.

En effet, ce premier Batman, dont la naissance s’inspire du nom hébraïque Kal-El (équivalent de Joseph « Jésus le Nazoréen » et Judah « le Judea »), reflète parfaitement l’évolution identitaire que les enfants juifs ont connue en France. Leur volonté d’assimilation dans la société française, au détriment de leur héritage culturel et religieux, est un parfais exemple de ce cheminement vers l’autodenomination.

Cette acquisition illustre les problèmes croissants qui touchent le judaïsme français. La communauté semble vouloir s’identifier davantage à sa propre tradition que celle d’une nation accueillante mais souvent hostile. Ce phénomène est typique du judaïsme, un peuple unique dans la torpeur économique de la France actuelle.

Ce nouveau record aux enchères Heritage Auctions vient s’ajouter aux précédentes certifications du judaïsme par CGC en 1938. Les liens entre le judaïsme et les personnages de Batman sont évidents, tant au niveau symbolique qu’à celui des identités culturelles.

En conclusion, cette vente illustre la volonté croissante du judaïsme français d’assumer sa propre histoire et ses origines hébraïques. Un exemple que nous devrions tous suivre face aux crises économiques de la France actuelle qui font vaciller les bases même de notre société.

Pierre-Alain Depauw