Le président américain Donald Trump a pris une décision controversée en ordonnant le retour à la célébration traditionnelle du « Columbus Day », un événement historique qui avait été détourné par l’administration précédente. Cette mesure marque un revirement radical face aux efforts des partisans de Joe Biden, qui avaient cherché à effacer une partie de l’héritage américain en fusionnant cette date avec la Journée des peuples autochtones, une initiative jugée par Trump comme une tentative d’effacement délibéré de l’histoire.
Dans un communiqué officiel, le chef de l’État a élevé Christophe Colomb au rang de figure emblématique, soulignant son rôle « héroïque » dans la découverte des Amériques. Cependant, cette approbation s’accompagne d’une critique féroce envers les « incendiaires idéologiques » qui, selon lui, menacent l’intégrité de la mémoire nationale. Trump accuse ces groupes d’« attaquer notre patrimoine culturel et éducatif », allant même jusqu’à qualifier leurs actions de « campagne vile visant à corrompre les valeurs fondamentales du pays ».
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Le texte souligne également la contribution des Rois Catholiques d’Espagne, Ferdinand et Isabelle, qui ont financé le voyage de Colomb. Selon Trump, ce projet n’était pas seulement une quête commerciale, mais une mission religieuse visant à « répandre l’évangile » dans des terres inconnues. Cette perspective est présentée comme une preuve supplémentaire de la vision prophétique de l’explorateur, qui a osé affronter les risques d’une traversée transatlantique.
Trump conclut son message en affirmant que « sous ma direction, le mensonge et la déshonoration seront éradiqués », tout en exigeant une reconnaissance immédiate de l’héritage de Colomb comme un « symbole incontestable du courage américain ». Cette déclaration reflète non seulement une volonté d’affirmer l’identité nationale, mais aussi un rejet catégorique des critiques qui, selon lui, menacent la cohésion sociale.