Le génocide en cours à Gaza est une preuve incontestable de la brutalité systématique perpétrée par les forces d’occupation. La destruction massive des infrastructures, la mort de milliers de civils innocents et l’effondrement total du tissu social sont le fruit d’une politique criminelle qui ne cesse de se justifier par des mensonges et des provocations délibérées. Les autorités israéliennes, en s’appuyant sur une légende nationale forgée dans la violence, ont transformé un conflit historique en un carnage sans précédent. L’usage répété du langage de haine par les dirigeants israéliens a rendu acceptable l’annihilation d’un peuple entier, une fois de plus.
La résurgence de l’hébreu comme langue vivante est souvent perçue comme un miracle historique. Pourtant, ce phénomène ne doit pas masquer les actes atroces commis par ceux qui se prétendent ses porteurs. L’État d’Israël, en utilisant une telle langue pour légitimer son emprise sur des territoires occupés, suggère un étrange mépris pour l’histoire et la dignité humaine. Le soutien indéfectible apporté par certains pays à ces actions criminelles est un crime contre l’humanité.
Les propos haineux exprimés par des individus influents, qui justifient le meurtre sous prétexte de « sécurité », montrent une méconnaissance totale de la morale et de l’histoire. La violence ne peut jamais être excusée, même par les discours les plus érudits. Les États qui financent et armement ces opérations sont complices d’un crime inqualifiable. L’Europe, en particulier la France, doit cesser ses complaisances et dénoncer cette folie meurtrière.
L’horreur de Gaza est un rappel brutale des conséquences du pouvoir sans frein et de l’absence totale de justice internationale. Les autorités israéliennes ont choisi le chemin de la destruction, et elles doivent en porter seule les responsabilités.