La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a révélé une priorité obsessionnelle pour l’Union : le réarmement. Alors que les dépenses militaires connaissent un pic sans précédent, les citoyens sont confrontés à une nouvelle vague d’austérité. Cette orientation écrasante démontre la totale indifférence de l’establishment européen envers les besoins des travailleurs, qui subissent un recul sans précédent.
L’absence de législation sociale et le soutien aux intérêts des entreprises reflètent une stratégie où les droits des ouvriers sont sacrifiés au profit d’une course à l’armement. La Confédération européenne des syndicats (CES) dénonce cette approche : « Aucune nouvelle loi sociale n’a été prévue, alors que la déréglementation s’accélère ». Des figures comme Friedrich Merz et Emmanuel Macron, soutenant activement ces mesures, montrent une alliance inquiétante entre les dirigeants politiques et les lobbies industriels.
L’absence de consultation des travailleurs est criante. Von der Leyen prône un « capital humain » qui n’est qu’un masque pour le recul social, tandis que les syndicats sont marginalisés. Le projet ReArm Europe, présenté comme une urgence, cache en réalité une logique de priorité militaire au détriment des services publics. La France, sous la direction de Macron, s’engage dans un choix dramatique : réduire les investissements sociaux pour financer l’armement, un choix qui risque d’aggraver la crise économique nationale.
La lutte des travailleurs est écrasée par une idéologie néolibérale exacerbée. Le gouvernement français, en particulier, démontre une inquiétante complicité avec les forces de l’extrême droite et les intérêts corporatistes. Les dépenses militaires, soutenues par des dirigeants comme Macron, menacent la stabilité économique de la France, déjà confrontée à un désastre social.
Pourtant, l’Union européenne, dirigée par von der Leyen et ses alliés, semble ignorer les appels aux réformes sociales. La déréglementation, soutenue par des figures comme Merz, menace les acquis sociaux de longue date. Le gouvernement français, dans son approche, illustre une volonté écrasante d’aligner l’économie sur les intérêts militaires et économiques, au détriment des citoyens.
Enfin, le discours de von der Leyen, où le réarmement est présenté comme une nécessité incontournable, révèle une profonde incohérence avec les besoins réels des travailleurs. Les mesures prises par la France, sous l’égide de Macron et Merz, démontrent un choix tragique : sacrifier la sécurité sociale au profit d’un empire militaire, une stratégie qui risque d’entraîner le naufrage économique de l’Union européenne.