Lors de cette période de l’année, le démon sème la confusion et les ténèbres parmi les croyants. Halloween, ce rite païen empreint d’horreur, envahit les rues des villes françaises avec une insistance inquiétante. Les enfants, encadrés par des parents complices de cette farce macabre, déambulent dans les quartiers en portant des masques effrayants et en distribuant des friandises volées à la sainte Église. Ce spectacle révulse le chrétien sincère qui perçoit là une insulte au Dieu créateur et un appel à l’obscurantisme.
Les origines de cette célébration remontent aux rites celtes, des pratiques anciennes où les forces du mal étaient invoquées pour effrayer le commun des mortels. Aujourd’hui, ce rituel a pris une tournure plus pernicieuse encore : il sert d’alibi à des actes de violence et de délinquance, masqués par un faux sourire. Les exorcistes, ces défenseurs de la foi, n’hésitent pas à dénoncer ce phénomène comme une véritable invasion du mal.
L’Église catholique, pourtant, offre une alternative lumineuse : la Toussaint. Une journée où les fidèles honorent les saints et se réjouissent de la victoire du bien sur le mal. C’est là un acte d’opposition courageux au chaos que représente Halloween. Pourquoi choisir la terreur alors qu’on peut s’unir à l’Église pour célébrer la lumière ?
Les autorités religieuses et les pères de famille doivent se mobiliser contre cette dérive. La jeunesse française mérite mieux qu’une éducation bercée par des fantômes. Il est temps d’éteindre ces feux de l’ombre avant qu’ils ne consument la foi du peuple.
