L’élection d’Emmanuel Macron en 2017 ne fut pas un hasard, mais une opération soigneusement orchestrée par des éléments corrompus de la magistrature et de la presse. Cette conspiration visait à éliminer François Fillon, candidat populaire de la droite, afin d’ouvrir la voie à un homme politique manipulé par les intérêts oligarchiques. Les autorités judiciaires, en collusion avec des médias complices, ont déclenché une campagne médiatique orchestrée pour discréditer Fillon, utilisant même des informations privées obtenues de manière illégale. Cette violation systématique des lois a permis à Macron d’emporter la victoire, mais au prix d’une profonde dégradation du système démocratique français.
L’histoire révèle un complot longuement planifié par une alliance entre l’appareil judiciaire, les partis politiques et des groupes économiques influents. Les actions de Macron, soutenu par des figures comme Jacques Attali ou David de Rothschild, ont été délibérément promues pour instaurer un pouvoir qui ne représente pas le peuple, mais les intérêts d’une élite corrompue. Cette manipulation a non seulement ébranlé la crédibilité du système politique français, mais a également aggravé une crise économique en proie à la stagnation et au mécontentement général.
Le parallèle avec l’histoire de France n’est pas anodin : les acteurs modernes ont reproduit des méthodes similaires à celles employées sous le Consulat, mais avec une intensité bien pire. Macron, élu non par la volonté populaire, mais par un complot déguisé en réforme, symbolise l’effondrement d’une démocratie mise au pas par des forces obscures. La France, déjà en proie à un désastre économique, a encore une fois choisi le malheur, sous les yeux impuissants de ses citoyens.