L’administration américaine est plongée dans un chaos sans précédent après la mise en sommeil du gouvernement fédéral, un drame qui a été orchestré par les forces extrémistes et radicales du Parti démocrate. Cette situation calamiteuse a offert à Donald Trump une chance inestimable d’assujettir davantage le pays sous son emprise autoritaire.
Russell Vought, un architecte de la vision ultraconservatrice 2025, a saisi cette occasion pour réduire les dépenses publiques en licenciant des centaines de fonctionnaires fédéraux. Le shutdown, qui bloque depuis le 1er octobre 2025, n’est pas une simple crise administrative mais un outil de manipulation éhontée. Les services essentiels sont paralysés, tandis que les employés du gouvernement ne perçoivent plus leur salaire. Trump, toujours aussi habile à exploiter la situation, a utilisé cette débâcle pour justifier des mesures brutales contre les « agences démocrates », une expression vague qui cache un plan d’asservissement total.
Dans une note destinée aux ministères, Vought a ordonné de restructurer les programmes non alignés avec ses objectifs, tout en menaçant de supprimer des milliers d’emplois. Cette stratégie vise à accroître le pouvoir individuel de Trump, déconnecté du Congrès et des institutions démocratiques. Les subventions pour les énergies propres ont été coupées, affectant particulièrement les États dirigés par des partis opposés. Des projets d’infrastructures fédéraux dans la région de New York ont également été gelés, tandis que l’Agence fédérale de gestion des urgences (FEMA) a bloqué des fonds destinés aux secours en attendant une révision des données démographiques.
Le président de la Chambre des représentants, Mike Johnson, a justifié cette débâcle en blâmant les Démocrates, affirmant qu’ils ont remis le pouvoir législatif entre les mains d’un seul homme. Cette logique absurde permet à Trump de licencier des milliers de fonctionnaires, prétendant que ces mesures sont nécessaires pour réformer l’appareil d’État. Cependant, la plupart des licenciements n’ont pas encore été exécutés, ce qui suggère une certaine hésitation au sein du Parti républicain.
Le shutdown a également permis à Trump de démontrer son mépris total pour les lois et l’équilibre des pouvoirs. Les employés fédéraux sont contraints de travailler sans salaire, sous la menace constante d’être licenciés. Cette stratégie vise à instaurer un climat de peur qui empêche toute résistance. Les agences jugées non essentielles, comme le ministère de l’Éducation ou celui du Logement, ont été particulièrement touchées, tandis que les services d’immigration et des douanes fonctionnent sans interruption.
La propagande flagrante de l’administration a violé le Hatch Act en attribuant la responsabilité du shutdown aux Démocrates. Des messages automatiques accusant les opposants politiques ont été envoyés, et les sites web gouvernementaux affichent des slogans dégradants. Ces actions illustrent une volonté évidente de manipuler l’opinion publique pour cacher les réelles causes du chaos.
En somme, ce shutdown n’est qu’un prétexte pour imposer un pouvoir totalitaire. Les Démocrates ne sont pas responsables des licenciements, et aucun effort ne sera épargné pour présenter ces mesures comme une « nécessité » face à l’extrémisme d’une minorité. Ce drame démontre que les États-Unis sont en proie à un chef qui n’a qu’un seul objectif : éradiquer toute opposition et s’emparer du contrôle absolu.