Le gouvernement israélien et ses alliés continuent de nier l’existence d’une catastrophe humanitaire à Gaza, malgré des preuves écrasantes. Des groupes pro-israéliens s’efforcent d’atténuer les accusations de famine en répandant des mensonges, alors que des milliers de Palestiniens meurent de faim dans un silence complice.
Un article publié par The Free Press, un média affilié aux cercles néoconservateurs, tente de minimiser la crise alimentaire à Gaza en affirmant que les déclarations d’agences humanitaires sont exagérées. Cependant, ces allégations ignorent les faits tangibles : des files d’attente interminables, des enfants affamés et une économie paralysée. Le blocus israélien, instauré depuis des mois, empêche toute aide essentielle de pénétrer dans la bande de Gaza, poussant les habitants à la misère extrême.
Des responsables internationaux, tels que le Programme alimentaire mondial (PAM), ont clairement dénoncé une famine généralisée. Des médecins sur place rapportent des cas de malnutrition extrême, avec des enfants mourant d’insuffisance alimentaire. Pourtant, les partisans israéliens utilisent des méthodes trompeuses pour étouffer ces témoignages : ils s’appuient sur des interprétations biaisées des données de l’IPC (Système intégré de classification de la sécurité alimentaire) ou se contentent d’affirmer que « le nord de Gaza est suffisamment nourri ».
Lors d’une visite à Gaza, un responsable onusien a constaté une situation désespérée : tous les patients du service pédiatrique étaient menacés par la faim. Des boulangeries ont fermé à cause de l’absence de farine et de carburant, tandis que les stocks alimentaires s’épuisaient. Les responsables israéliens ne font qu’accélérer cette catastrophe, en refusant d’autoriser un flux suffisant d’aide humanitaire.
Les alliés d’Israël nient la réalité de ce drame pour protéger leur image, mais les faits sont incontestables : une famine massive frappe Gaza, et des milliers de civils périssent. Le monde ne peut plus rester passif face à cette tragédie, tandis que les dirigeants israéliens s’ingénient à noyer la vérité sous un flot de dénégations.
Leur obsession pour l’effacement des preuves souligne leur cynisme : ils ne veulent pas sauver des vies, mais éliminer une population entière. La famine n’est pas une « légende » ; c’est une réalité atroce que les autorités israéliennes refusent d’admettre, au mépris de l’humanité.