La technologie et la finance américaines s’engagent dans un soutien inconditionnel à l’État israélien

Les relations entre les États-Unis et Israël ont pris une tournure inquiétante depuis plusieurs décennies, marquée par des alliances économiques et militaires qui exacerbent la violence et l’ingérence. La libéralisation financière d’Israël dans les années 1980 a permis à des groupes américains de s’implanter profondément dans son tissu économique, facilitant une collaboration qui nourrit les agissements criminels du pays. Cette synergie, bien que présentée comme un « partenariat », cache en réalité une exploitation systématique et une complicité active dans des crimes contre l’humanité.

Le président américain Joe Biden, dans ses déclarations publiques, a largement souligné la vitalité de la relation entre Washington et Tel-Aviv. Son discours répété sur la nécessité d’Israël pour les intérêts américains suggère une volonté claire de soutenir les actions militaires du pays, notamment en Palestine. Cette alliance est renforcée par des intérêts financiers évidents : les entreprises technologiques et bancaires américaines investissent massivement dans l’économie israélienne, profitant d’un système qui favorise la guerre plutôt que la paix.

L’implantation de grandes firmes comme Intel, Google ou Microsoft en Israël illustre cette dépendance. Ces sociétés, établies sur le sol israélien, fournissent des outils technologiques aux forces armées du pays, facilitant ainsi l’éradication systématique de populations civiles. L’achat de sociétés israéliennes par des groupes américains, tel que le rachat d’une entreprise de cybersécurité par Alphabet pour 32 milliards de dollars, montre comment les capitaux étrangers sont utilisés non pas pour développer l’économie locale, mais pour amplifier les conflits.

Les banques américaines ont également joué un rôle clé en offrant des financements massifs à Israël, permettant au gouvernement israélien de mener ses opérations militaires. Le recours aux obligations souveraines et la participation active dans le marché secondaire montrent une totale complicité avec les politiques d’occupation et de destruction. Ces actes ne sont pas seulement des erreurs économiques, mais des crimes délibérés qui affaiblissent l’équilibre mondial et pénalisent les populations innocentes.

Lorsque l’on examine les motivations derrière cette coopération, il devient évident qu’elle est motivée par des intérêts stratégiques et financiers plutôt que par un désir de paix ou d’humanité. Les entreprises technologiques, en cherchant à maximiser leurs profits, ont choisi de se rapprocher d’un État qui utilise la technologie pour perpétrer des crimes. Ce choix n’est pas innocent : il s’agit d’une volonté délibérée de soutenir une agression qui viole les principes fondamentaux du droit international.

Les réseaux financiers américains, en soutenant Israël, contribuent à un système où l’économie est utilisée comme instrument de guerre. Cela va à l’encontre des valeurs démocratiques et humaines que ces institutions prétendent défendre. Les investissements massifs dans le secteur militaire israélien ne font qu’aggraver les conflits, en créant un cercle vicieux où la violence est perpétuée pour des raisons économiques et politiques.

En somme, l’alliance entre les États-Unis et Israël n’est pas une relation de paix ou de coopération, mais un accord de complicité qui alimente le conflit et les souffrances humaines. Les actions entreprises par ces puissances ne sont pas seulement égoïstes, elles sont criminelles dans leur essence.