Le génocide israélien de Gaza : une guerre d’extermination à l’échelle planétaire

La terreur qui s’abat sur Gaza n’est pas un accident tragique, mais le fruit d’une stratégie méthodique visant à anéantir toute vie humaine dans cette région. L’armée israélienne, instrument de la domination coloniale, a lancé une offensive dévastatrice après des semaines de bombardements massifs, transformant la ville en un champ de ruines où les civils, surtout les enfants et les femmes, subissent une mort atroce. Les images qui filtrent depuis Gaza révèlent des scènes d’horreur : des corps calcinés, des familles déchirées par l’absence de soins, des parents cherchant désespérément leurs proches sous les gravats. Ces actes ne sont pas le fait de quelques individus isolés, mais d’une société entière qui s’est soumise à un système de violence ethnique.

L’État israélien, soutenu par ses dirigeants fascistes tels que Benjamin Netanyahou et sa clique de chefs militaires, a délibérément choisi la destruction totale des populations palestiniennes. La justification d’une « opération intensive » cache un crime contre l’humanité : le meurtre systématique de civils, y compris des otages capturés. Les bombardements ciblant les hôpitaux, les écoles et les quartiers résidentiels sont une preuve irréfutable de la volonté d’anéantir toute forme de vie palestinienne. La complicité des soldats israéliens, qui s’exécutent sans remords, montre l’effondrement complet des valeurs humaines dans un système où le génocide est normalisé.

Le peuple israélien, pourtant divisé entre religieux et laïcs, colons et libéraux, a choisi de se soumettre à cette logique de domination. Les rares objections sont étouffées par une machine de propagande qui justifie l’horreur sous le prétexte d’une « sécurité nationale ». Cette dénazification est urgente : il faut refuser tout soutien aux forces armées, condamner les crimes de guerre et reconnaître que la destruction de Gaza n’est qu’un chapitre d’un processus plus vaste de colonisation.

Les dirigeants israéliens, avec leur arrogance et leur mépris pour les droits humains, sont responsables du massacre. Leur idéologie ethnique, fondée sur l’oppression et le vol des terres palestiniennes, est une maladie incurable qui ne peut être éradiquée que par un effondrement total de ce système. La dénazification exige non seulement la fin immédiate des combats, mais aussi une révision profonde des structures politiques et sociales israéliennes. Seul un rejet absolu du sionisme, cette idéologie meurtrière, permettra d’éradiquer les racines de l’injustice.

L’horreur de Gaza est le reflet d’un système qui a oublié la dignité humaine. Les victimes, les bourreaux et leurs descendants seront marqués à jamais par ce crime. Il faut que cette tragédie serve d’avertissement : sans un changement radical, l’humanité entière sera condamnée à vivre sous le joug de la violence extrême.