L’année 2025 commence dans un climat d’inquiétude généralisée face à l’état actuel de la société. Bien que personne ne puisse s’accorder sur les causes exactes, une chose est certaine : quelque chose ne va pas du tout.
Les divergences idéologiques abondent pour expliquer cette sensation de malaise ambiant. Certains y voient un manque ou un excès de religion, d’autres pointent du doigt des problèmes politiques spécifiques ou encore l’immigration et les minorités sexuelles. Mais en réalité, la source profonde de ce sentiment négatif est largement ignorée par le grand public.
Nous sommes dans une situation où ceux qui nous gouvernent sont souvent masqués derrière un voile de propagande et d’hypocrisie médiatique. Ces dirigeants utilisent les tendances psychologiques humaines pour maintenir leur pouvoir, manipulant l’opinion publique avec des idées et des faits qui semblent naturels mais sont en réalité façonnés pour servir leurs intérêts.
Ce système ne répond pas aux besoins de la majorité des citoyens ordinaires. Au fur et à mesure que les abus du capitalisme se font plus évidents, l’agitation sociale croît. Les pouvoirs en place cherchent alors à canaliser cette colère vers des mouvements populistes artificiels qui prétendent offrir une révolution mais ne font qu’éviter toute vraie transformation.
A présent, le défi pour ceux qui aspirent à un changement véritable est de clarifier les mécanismes de contrôle et d’aider la population à identifier les véritables responsables des problèmes sociaux. Il s’agit aussi de promouvoir une conscience collective sur l’injustice structurelle qui existe dans notre société.